Le loup, qui, dans cette zone tempérée, est peut-être de tous les animaux le plus féroce, n'est pas, à beaucoup près, aussi terrible, aussi cruel que le tigre, la panthère, le lion de la zone torride, ou l'ours blanc, le loup cervier, l'hyène de la zone glacée |
BUFFON
|
Quadr. t. II, p. 4 |
zone |
Cette zone [la zone de 250 mètres des servitudes militaires] doit être mesurée sur les capitales des bastions et à partir de la crête de leurs glacis |
GAUDRY
|
Traité du domaine, t. II, p. 13 |
capital, ale |
La zone incendiée [la zone dévastée par l'incendie] a pris une autre route, on peut même dire qu'elle a une double direction en partant d'Antibes |
BUFFON
|
Min. t. IX, p. 24 |
incendié, ée |
Zone inféconde |
DELILLE
|
Pitié, II |
infécond, onde |
On les suit [des volcans] sans interruption et sur une assez large zone |
BUFFON
|
Min. t. IX, p. 21 |
suivre |
Les points saillants, qui, placés dans la zone inondable, seraient destinés à former des îles |
ROUDAIRE
|
Rev. des Deux-Mondes, 15 mai 1874, p. 341. Les. |
inondable |
Une zone noire descend depuis l'oeil, et, traçant un zigzag, tombe jusque sur l'aile |
BUFFON
|
Ois. t. XIII, p. 31 |
zigzag |
Autrefois nos nations de la zone tempérée n'imaginaient pas que la terre fût habitée au delà du cinquantième degré de latitude boréale |
VOLTAIRE
|
Lettr. Bailly, 9 février 1776 |
boréal, ale |
Le climat des Antilles attaque les enfants nouveau-nés d'un mal qui semble renfermé dans la zone torride ; on l'appelle tétanos |
RAYNAL
|
Hist. phil. XI, 32 |
tétanos |
La Californie est proprement une longue pointe de terre qui sort des côtes septentrionales de l'Amérique, et s'avance entre l'est et le sud jusqu'à la zone torride |
RAYNAL
|
Hist. phil. VI, 23 |
pointe |
Qu'au-dessous [de 500 à 600m] commençait un immense désert sans plantes, sans animaux, auquel il [Forbes] donnait le nom de zone abiotique |
A. RECLUS
|
Rev. mar. et col., juill. 1874, p. 150 |
abiotique |
Si l'on veut supputer la surface de cette zone glacée depuis le pôle jusqu'au 82e degré de latitude, on verra qu'elle est de plus de cent trente mille lieues carrées |
BUFFON
|
6e époq. nat. Oeuv. t. XII, p. 314, dans POUGENS |
glacé, ée |
La hauteur à laquelle les vapeurs se glacent est d'environ 2400 toises sous la zone torride, et, en France, de 1500 toises |
BUFFON
|
Addit. théor. terr. Oeuv. t. XII, p. 436, dans POUGENS. |
glacer |
En sorte que la masse continue de cette glace solide et permanente qui couvre le pôle austral et toute la zone adjacente, s'étend dans ces parages jusqu'au delà du 66e degré de latitude |
BUFFON
|
Explic. cart. géogr. Oeuv. t. XIII, p. 357 |
parage [1] |
Lorsque la mer flue de la zone torride vers notre pôle pendant notre hiver, non-seulement elle en adoucit la rigueur sur nos côtes, en attiédissant leur atmosphère par sa chaleur.... |
BERNARDIN DE SAINT-PIERRE
|
Harm. l. V, Harm. anim. |
attiédir |
Daniel Bernoulli nous a donné un savant mémoire où il cherche par quelle raison les orbites des planètes sont renfermées dans une très petite zone parallèle à l'écliptique, et qui n'est que la dix-septième partie de la sphère |
D'ALEMBERT
|
Oeuv. t. IV, p. 307 |
zone |
La soucrourette [espèce de sarcelle] a sur l'épaule la plaque bleue avec la zone blanche au-dessous, et ensuite le miroir vert, tout comme le soucrourou ; le reste du corps et la tête sont couverts de taches d'un gris brun ondé de gris blanc |
BUFFON
|
Ois. t. XVII, p. 406 |
miroir |
L'Asie n'a point précisément de zone tempérée ; et les lieux situés dans un climat très froid y touchent immédiatement ceux qui sont dans un climat très chaud |
MONTESQUIEU
|
Esp. XVII, 3 |
zone |
On a découvert un continent entier, un nouveau monde dont la plus grande partie des terres habitées se trouve dans la zone torride, et où cependant il ne se trouve pas un homme noir, tous les habitants de cette partie de la terre étant plus ou moins rouges, plus au moins basanés ou couleur de cuivre |
BUFFON
|
Hist. nat. homme, Oeuvr. t. V, p. 169 |
noir, oire |
Dès 1802, on sut que le zodiaque devait être élargi ; sa découverte [de la planète de Cérès en 1801 par Piazzi] a changé tout à coup les idées reçues sur la largeur du zodiaque : l'étendue de cette zone du ciel dans laquelle sont observés les mouvements des planètes avait toujours été comprise dans une largeur d'environ 16 degrés ; c'était celle du zodiaque consacré par l'ancienne astronomie ; Cérès en a franchi les bornes et porté sa largeur jusqu'à 37 degrés |
VOIRON
|
Hist. de l'astronomie, p. 72 |
zodiaque |